Longue introduction pour une petite histoire : Lorsqu’à la fin du XVIIIème siècle, les premiers colons d’Australie introduisent les bovins, le bousier indigène se trouva fort déboussolé. Lui qui était habitué aux bouses légères des marsupiaux du coin (kangourous, koalas et autres wombats), le voilà confronté aux lourds et gras cacas de Marguerite et ses copines. Malgré tous ses efforts, lui et ses potes ne parviennent pas à recycler ce nouveau millésime. En conséquence, les prairies australiennes se muèrent en de vastes étendues de bouses humides où l’herbe ne pouvait plus pousser privant paradoxalement les vaches, coupables du fait, de pâturage. Après avoir tenté de nettoyer elles-mêmes par des moyens dérisoires et en vain, les autorités locales trouvèrent la solution dans les années 1960 : Importer massivement des bousiers africains et européens rompus à la désintégration des crottes bovines. Mais il aura tout de même fallu 15 ans d’importation et d’acclimatation pour que les prairies australiennes retrouvent leur équilibre.
Comme quoi, l’adage est bien vrai : A chacun sa m**** !
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très bon, le titre ! ;-)