Alors, pour inaugurer une série d’article sur l’origine d’expression, voici deux expressions assez singulières:
une mer d’huile: cette expression s’emploie pour décrire une mer très calme; en réalité, cette expression remonte de la Grèce antique: l’huile ayant la particularité d’être hydrophobe (voir un précédent article sur les bulles de savon), les Grecs,grands navigateurs, déversaient l’huile sur la mer. Sa caractéristique hydrophobe permet une répansion très vaste pour une quantité très faible (dans un lointain souvenir, une simple goutte pouvait se répandre sur 1 km2). L’effet ainsi créé est une sorte de voile à la surface la mer, qui l’a rend plus calme. C’est Brice qui sera content.
Paris, ville lumière: bien qu’aujourd’hui cette expression illustre le caractère très illuminé de Paris (de par ses nombreuses illuminations et son aspect festif), l’histoire de cette expression est moins joyeuse… Remontons au Moyen-Age. Du fait de la proximité des habitants de Paris et de la forte population pour l’époque (bref, d’une forte densité de population), une vague de crimes importante se développa. Une réponse à ce phénomène fut alors d’obliger les Parisiens à éclairer les rues de Paris en installant des bougies à leurs fenêtres à la nuit tombée. (Je remercie pour cette information cette émission formidable de pré-JT de TF1 de 95 « Les pourquoi de Monsieur Pourquoi »)
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Sans vouloir être médisant la vraie ville des lumières, c'est Lyon hein ;)
J'aime pas les Lyonnais ni les Lyonnaises, c'est tous des eaux... (hoho... elle est nulle mais ça me démangeait trop)
obligé... hum...
Il y a une manière radicale de savoir si un verbe doit se conjuguer à l'infinitif ou au participe passé. Il suffit (dans la phrase) de remplacer le verbe par "finir" ou "vendre". Si ça colle la terminaison est "er" sinon, c'est "é". A+ !
Au fait, l'administrateur du blog (Bastien donc) est Lyonnais... Voilà, voilà...
J'ai pas compris la blague moi ^^
Oui, bon faute d'inattention, ça arrive, et je connais la technique. Sinon, je sais qu'il est lyonnais.
Bonjour,
Chouette article, toujours bon à savoir. Merci !
Je n'ai pas bien compris pourquoi les grecs rependaient de l'huile sur la mer.
pour rendre la mer plus calme (bon, ensuite, ça a des limites au niveau des effets, parce qu'avec une tempête par exemple, on peut pas faire grand-chose...).
Je rebondis sur le savon : j'ai appris aujourd hui que certains adeptes des cocktails molotovs mettent dans la bouteille, outre de l'essence, du savon en paillettes qui rend le mélange visqueux et permet de mettre le feu à des cibles verticales... ce n'est pas le sujet, mais bon.