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Quand les jeudis sont noirs

Il existe dans notre Histoire plusieurs jeudis noirs. Lorsqu’on utilise l’adjectif « noir» pour qualifier un jour, qu’il soit de février ou d’un autre mois, cela signifie que cette journée a connu un évènement tragique ou marquant.  Il peut s’agir de catastrophes naturelles majeures, d’accidents graves, de crises financières, de journées de deuil national ou marquées par des événements historiques tragiques.

En ce qui concerne le jeudi noir, il fait référence à plusieurs évènements marquants.

Sans doute, le plus connu des jeudis noirs est celui qui s’est produit le 24 octobre 1929. Jour où advint le célèbre krach de Wall Street. Le marché boursier américain a connu un effondrement important, annonciateur du début de la Grande Dépression, l’une des plus graves récessions économiques de l’histoire. Le krach est le résultat d’une combinaison de facteurs, notamment une spéculation excessive, des niveaux d’endettement élevés et des ventes de panique généralisées. Le jeudi noir a été suivi du lundi noir (28 octobre) et du mardi noir (29 octobre), ce qui a aggravé la crise financière et entraîné une longue période de difficultés économiques.

Durant la Seconde Guerre mondiale, on notera aussi le jeudi noir de la Luftwaffe. Il s’agit d’une série d’attaques aériennes massives menées par la Luftwaffe, la force aérienne allemande, sur la France le jeudi 10 mai 1940. Cette date marque le début de l’invasion allemande de la France pendant la Seconde Guerre mondiale. L’invasion a abouti à la défaite de la France en seulement six semaines, conduisant à l’occupation allemande du pays et à l’établissement du gouvernement de Vichy. L’événement est souvent considéré comme un tournant majeur de la Seconde Guerre mondiale en Europe occidentale.

Mais peut-on dire pour autant que les jeudis noirs portent malheur comme les chats de la même couleur ? Je ne sais, pas c’est pourquoi, je donne ma langue au chat !

Axelle Rousse_Redacxelle

Femme fatale aux courbes si parfaites qu’indicibles, je reste au foyer pour éviter les paparazzi et mener une vie tranquille loin des projecteurs. J’en profite pour cultiver mes neurones et m’intéresser à tout et n’importe quoi. Mes madeleines préférées sont la grammaire française, la littérature, la musique savante et la pédagogie.

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