Vous avez l’impression que, malgré une nuit de sommeil apparemment complète, une fatigue écrasante vous envahit en pleine journée ? Peut-être ressentez-vous des difficultés persistantes à vous endormir ou à maintenir un sommeil réparateur ? Je ne suis ni somnologue, ni neurologue, mais je peux, sans trop me tromper, vous affirmer que vous devez être sujet à une forme de dyssomnie.
Sous le terme de dyssomnie, on regroupe un ensemble de troubles du sommeil impliquant des difficultés à s’endormir (insomnies), à rester endormi (troubles du rythme veille-sommeil) ou une somnolence excessive (hypersomnies).
Détaillons ici ces 3 types de dyssomnies :
Imaginez ! Vous êtes allongé dans le noir depuis deux heures, vous avez compté toutes les moutons possibles (même ceux en grève), et pourtant, votre cerveau décide que 2h du matin est le moment idéal pour repenser à une conversation gênante d’il y a 5 ans…
Vous dormez plus qu’un chat (16 heures par jour) ou qu’une marmotte en hiver, mais vous vous réveillez quand même avec l’impression d’avoir fait un marathon dans vos rêves. Il s’agit d’hypersomnie
Cette catégorie englobe 5 types d’excès du sommeil :
Vous rigolez à une blague, et pouf, vos jambes lâchent. Ou pire, vous piquez du nez en pleine réunion… devant votre patron. Niveau discrétion, on repassera.
Vous dormez plus qu’un chat (16 heures par jour), mais vous vous réveillez quand même avec l’impression d’avoir fait un marathon dans vos rêves.
Vous vous endormez un lundi et vous vous réveillez deux semaines plus tard… en mode « C’était quoi le dernier épisode de ma vie déjà ? »
Forme d’hypersomnie secondaire, c’est-à-dire qu’elle n’est pas un trouble du sommeil en soi, mais une conséquence d’un trouble psychiatrique sous-jacent. En d’autres termes, ce n’est pas votre corps qui décide de dormir trop, mais plutôt votre esprit qui appuie un peu trop fort sur le bouton « off ».
Somnolence excessive causée par une affection médicale sous-jacente. En clair, ce n’est pas votre cerveau ou votre état émotionnel qui vous joue des tours, mais plutôt votre corps qui décide qu’il est temps de passer en mode hibernation… sans demander votre avis.
Les troubles du rythme veille-sommeil sont des dysfonctionnements du cycle naturel du sommeil et de l’éveil. En gros, votre horloge biologique a décidé de fonctionner en mode freestyle, vous plongeant dans un décalage constant avec le reste du monde.
Si vous avez déjà eu l’impression de vivre dans un fuseau horaire différent de votre entourage… félicitations, vous pourriez bien être concerné ! 😆
Vous êtes probablement le seul de votre entourage à être plein d’énergie à minuit et à commencer des projets improbables à 2h du matin (« Et si je réorganisais toute ma chambre MAINTENANT ? »). Vous vous endormez à 4h du matin et vous devez être debout à 7h pour le boulot… Autant dire que vous passez votre journée en mode zombie caféiné.
Vous vous endormez en plein film à 19h30, et à 4h du matin, vous êtes déjà debout, frais comme un gardon… mais tout le monde dort encore.
Lundi, vous dormez à minuit. Mardi, à 1h. Mercredi, à 2h… et ainsi de suite, jusqu’à ce que vous fassiez le tour complet de l’horloge. Ça veut quand même dire qu’une semaine sur deux, vous êtes synchronisé avec le monde !
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