Il s’agit de l’anacoluthe.
Jetée à ceux qui le contrarient, comme une invective dans le Crabe aux pinces d’or, Tintin au pays de l’or noir, Objectif lune, On a marché sur la Lune et Coke en stock, ce terme désigne en réalité une incohérence de construction dans une phrase. Quand l’anacoluthe sévit par inadvertance dans une phrase, le propos semble perdre toute logique créant une véritable ambiguïté. La syntaxe s’en trouve toute chamboulée et la compréhension du texte est brouillée. C’est un peu comme si le locuteur ou l’écrivain mélangeait deux phrases et sautait du coq à l’âne (idiotisme animalier).
Exemple (de mon invention, ce n’est pas du Hergé !) :
« Dans la rue était pleine de monde quand Tintin s’approcha »
« Haddock veut voir et parler à Tintin »
Quand elle est volontaire et usitée par les grands auteurs, l’anacoluthe possède une valeur poétique et sert le texte où elle se glisse.
Exemple :
« Les autres éternellement sur nous, j’étouffe! » (P. Claudel)
« Le nez de Cléopâtre, s’il eût été plus court, toute la face de la terre aurait changé. » (Pascal)
Et vous ? Saurez-vous en commentaire, nous faire rire avec vos meilleures anacoluthes ? Sans injures hein ?
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