Dans le Commonwealth, cette fleur (qui est aussi ma préférée) est associée aux soldats morts sur le front. Plusieurs faits expliquent ce choix.
Après avoir lu ce poème l’Américaine Moina Michael s’est jurée de toujours arborer un coquelicot pour commémorer les soldats morts au champ de bataille de la Première guerre mondiale.
Ecoutez, cet émouvant poème lu par Léonard Cohen. Frissons et émotion garantis.
Depuis tous les ans, à partir d’octobre, dans tous les pays du Commonwealth, des coquelicots en papier, sont vendus aux passants en échange d’un don. Les pare-chocs des voitures en sont aussi agrémentés.
En France c’est une autre fleur, le bleuet qui a été choisi pour symboliser le souvenir des Poilus morts au combat.
Symbolisant la délicatesse et la timidité, dans le langage des fleurs, le bleuet était aussi le nom donné aux soldats de la Classe 17, c’est-à-dire ceux nés en 1897 et portant un uniforme bleu. Tout comme les coquelicots, les bleuets s’épanouissaient malgré la boue et le sang coulant des tranchées. Utilisés dans la propagande pendant le conflit, la fleur bleue fut reconnue officiellement en 1935 et arboré par les gueules cassées.
En Belgique c’est la marguerite qui a été élue fleur du souvenir.
Et vous, quelle fleur allez-vous porter en ce 11 novembre 2018, à l’occasion du centenaire de l’armistice de la Première guerre mondiale ? Poppy ou bleuet ?
Commençons par la fin ! Avant même de parler de lieux, intéressons-nous à ce petit morceau…
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