C’est David Graeber, un anthropologue étatsunien qui a été le pionnier dans l’utilisation de ce mot. Sous sa plume, l’expression dénonce l’aliénation vécue par de nombreux employés de bureau, condamnés à n’accomplir que des tâches vaines dans le seul but de garder des emplois.
Reprise par les psychologues du travail, la théorie de David Graeber, décrit une pathologie de l’employé ressemblant à une démission intérieure ou dépression, nommée « brown-out ».
Il suffit pour cela d’imaginer l’impact sur la société que pourrait avoir la disparition de votre activité. Peut-on envisager un monde sans médecins, éboueurs, professeurs ou routiers ? Par contre que dire des Community managers, marketeurs ou juristes ? N’exercent-ils pas un emploi rémunéré si superflu et néfaste que le travailleur lui-même a du mal à justifier son existence ?
Partie intégrante d’un système au service de la finance, les bullshit jobs peuvent se diviser en plusieurs catégories.
Pour le respect de votre vie privée..nous ne vous demanderons pas de nous dire quel métier vous exercez !
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