Origine du sapin de Noël
En cette période de Noël, certains d’entre vous peuvent se demander pourquoi décore-t-on le sapin de Noel. Voici quelques éléments de réponses :
Pourquoi un sapin ?
On raconte qu’un moine évangélisateur Allemand de la fin du VIIe siècle, Saint Boniface (né en 680), voulait convaincre les druides germains, des environs de Geismar, que le chêne n’était pas un arbre sacré. Il en fit donc abattre un. « En tombant, l’arbre écrasa tout ce qui se trouvait sur son passage à l’exception d’un jeune sapin ». A partir de là, la légende fait son oeuvre. Elle raconte que Saint Boniface a qualifié ce pur hasard de miracle, et déclaré dans sa même prédication : « Désormais, nous appellerons cet arbre, l’arbre de l’Enfant Jésus. » Depuis, on plante en Allemagne de jeunes sapins pour célébrer la naissance du Christ.
Pourquoi des décorations ?
On le mentionne pour la première fois comme « arbre de noël » en Alsace vers 1521. Au XIVème siècle, les décorations étaient composées de pommes, de confiseries et de petits gâteaux. A cette même époque, l’étoile au sommet de l’arbre, symbole de l’étoile de Bethleem commença à se répandre. Ce sont les protestants en 1560 qui développèrent la tradition du sapin de noël pour se démarquer des catholiques. Au XVIIème et XVIIIème siècle apparaissent les premiers sapins illuminés. On utilisait des coquilles de noix remplies d’huile à la surface desquelles des mêches flottaient ou des chandelles souples nouées autour des branches.
J’ai lu quelque part qu’à l’origine le sapin servait à garder les fruit durant l’hiver.
En effet dans l’est, on renversait le sapin et on stocker les fruits entre les branches.
Est-ce vrai ?
Quant à moi il me semble pouvoir affirmer avec une quasi-certitude (à vérifier) que le sapin de Noël que nous utilisons la plupart d’entre nous en périodes de fête n’est en réalité pas un sapin mais un épicéa. Eh oui.
Très utile mais il manque d’images
Pour ma part, j’ai voyagé en Turquie et le guide nous a expliqué que le sapin de noël était une fête païenne. Les grecs qui vivaient en Anatolie adoraient le dieu soleil et lorsque le solstice d’hiver arrivaient ils donnaient des offrandes sous un sapin. Le sapin étaient le seul arbre qui ne perdaient pas ses feuilles et ils avaient un statut divin. Le taureau étaient aussi adoré et on se servaient des ses intestins et ses partie pour décorer le sapin.
Saviez-vous qu’une des espèces de sapin est surnomée « désespoir des singes » ?
En effet, l’Araucaria du Chili (Araucaria araucana) est une espèce de conifère originaire de la cordillière des Andes. Il est surnommé « désespoir des singes » par les européens car les premiers importateurs se dirent en le voyant qu’en raison des feuilles de l’arbre, très rigides et pointues, les singes ne pourraient y monter.
Mais fêter Noël ?
J’abonde dans ton sens, Red zone. Il me semble également que le triangle formé par le sapin est sensée rappeler la forme pyramidale, symbole de l’unicité du divin qui est porté par la multitude de la base bien au-dessus d’elle.
Et comme les religions monothéïste ne sont pas sorties d’un chapeau, il a bien fallu débuter par quelque part en empruntant des éléments existants… Comme, autre exemple, le jour du seigneur fixé le dimanche…ou « sunday » !
L’arbre de Noël est une tradition païenne celte. Elle a été récupérée par le catholicisme comme de nombreuses traditions (feu de la saint jean, toussaint, fête de « noël » …)