Le mot du mercredi : Postéromanie
La postéromanie n’est pas une pulsion qui pousse à recouvrir maladivement les murs de sa chambre d’affiches de One Direction ou M. Pokora (non, ça ce n’est pas de la postéromanie, mais de l’adolescence, et si lors de la lecture de cet article 2014 a bien pris du plomb dans l’aile, pensez à changer les noms des artistes). Et encore moins l’envie de punaiser des affiches qui montrent des postérieurs. Quoiqu’avec postérieur nous détenons quasiment la clé du mot.
La postéromanie est finalement un fort sentiment d’égoïsme mêlé à de l’angoisse puisqu’il s’agit du désir manifeste pour un homme d’avoir une descendance (mâle) pour que son nom puisse perdurer même lorsque lui aura quitté ce monde. Une façon de se rassurer et de se dire qu’on ne disparait pas complètement. Mais l’amour pour l’enfant conçu ne semble malheureusement pas vraiment évident dans le concept (enfin pour le père).
Et puis avouez que « Femme, vite, à poil, j’ai une crise de postéromanie ! » c’est tout de même moins classe que « Viens chérie que je t’étreigne tendrement pour tu puisses mettre au monde une princesse aux beaux yeux glauques comme toi et que nous chérirons jusqu’à la fin de nos jours ! », non ?
Si!
😉
Tout dépend de l’humeur du moment 😛
C’est pas faux non plus, l’entrainement, ça compte ! 😛