A qui appartient cette voix féminine sur « Great Gig in the Sky » ?
J’avoue. Fan de Pink Floyd depuis très longtemps et ce devant l’Eternel (bon, l’Eternel on y croit ou pas, hein ! C’est pas bien grave), j’ai découvert il y a seulement 5 ans que la sublime mélopée à jamais inscrite sur ce morceau des Pink Floyd issu de l’album « Dark Side of the Moon » est… Blanche. Pour mémoire ou pour découvrir le morceau, cliquez-ici les gens (soyez patient(e)s sa voix entre à 1:07). J’entends par blanche le fait que la chanteuse Clare Torry est blanche et non pas noire (non, noire n’est pas un gros mot). Et jusqu’à cette découverte j’avais toujours imaginé une sublime femme noire venant mettre toute son émotion au service de ce chef-d’oeuvre. Les Pink Floyd avaient juste donné à Clare comme « simple » directive d’exprimer la peur, la douleur et la mort. Mission qu’elle a amplement réussie je trouve. Pour ma part, frissons garantis à chaque écoute. C’est bien senti et surtout improvisé. On est loin des « braillages » de Céline qui vous savez et ses copines. Mais là encore, ce n’est que mon avis. 🙂
Bon, voilà, ce n’était juste qu’une réflexion du dimanche qui aura peut-être renseigné certains et certaines d’entre-vous.
J’étais persuadé aussi que c’était une femme noire qui chantait, parce que sur une vidéo de concert de Pink Floyd, c’était bien 3 choristes noires qui accompagnaient le groupe (sur l’ensemble du concert, il me semble)…
Mais effectivement, rien n’empêche que la version studio ait été enregistrée par une autre personne.
Ah … bah ok … ^^
Intéressant, ça m’a donné envie de faire tourner ma platine…
C’est vrai que je voyais plutôt une femme noire chanter sur cette piste. Du type chanteuse de Jazz.
Par contre quand tu dis « sublime » tu n’es pas loin de la réalité, Clare Torry n’étant pas moche à voir…
J’étais sûr que ces quelques lignes interpelleraient beaucoup de monde ! 😛
Saviez-vous par ailleurs, qu’elle avait intenté (et gagné) un procès contre Pink Floyd en 2005 pour les droits d’auteur ?
oui, je le savais 😉
Et sur une tournée post-Roger Waters, c’était Sam Brown, blanche également (rappelez-vous « You Better Stop ») qui se sortait avec les honneurs de ce périlleux exercice…
Ce morceau je me le passais en boucle…Pour ma part j’avais une version live interprétée par 3 choristes (2 blanches , 1 noire).
Pour ceux qui ne le sauraient pas, je me permets d’ajouter que notre chère Clare a enregistré cette merveille… du premier coup sans avoir besoin d’une deuxième prise !
Imaginez la scène : Rick Wright s’assoit derrière son piano, il demande à Clare Torry de « penser à la mort et à la souffrance et de chanter », et paf ! 4 minutes après, la version définitive de la partie chantée est dans la boite. Et 30 ans après, on en parle encore avec la chair de poule.
je suis bien d’accord avec Carpon ,je me passe pink floyd du soir au matin sur spotify et je ne m ‘en lasse pas des prouesses des guitaristes ,des saxophonistes ,du batteur et surtout des chanteurs ,ainsi que le piano et les synthés sont sublimes rien a voir les musiques actuelles d’ailleurs y a t’il encore de grands groupes de musique maintenant